18 Sep 2011
Jean-Luc Deuffic

Manuscrits d’Anne d’Armagnac, dame d’Albret, au château de Nérac (1472)


[ San Marino, Henry E. Huntington Library and Art Gallery HM 937 : Jehan boccace des cas des nobles hommes et femmes – ayant appartenu à Charles de Croy ]

Anne d’Armagnac, née en 1402, fille de Bernard VII d’Armagnac et de Bonne de Berry. En 1417, elle épouse Charles II d’Albret.

Inventaire des manuscrits laissés par Anne d’Armagnac, dame d’Albret, au château de Nérac (1472)

(1) — un petit bréviaire historié, couvert de cuir rouge ;
(2) — un grand livre à fermoirs d’argent, aux armes du Dauphin, où sont écrites les Paraboles de Salomon ;
(3) — une Bible aux armes du Dauphin ;
(4) — un petit livre des Echecs ;
(5) — un livre en papier, nommé le Pèlerin ;
(6) — un livre en parchemin, sans couverture, de confession ;
(7) — le quatrième volume des Histoires de Rome ;
(8) — un bréviaire historié à lettres d’or et d’azur ;
(9) — un petit bréviaire ;
(10) — les matines de Notre-Dame, avec les Evangiles et les heures du Saint Esprit ;
(11) — un livre en parchemin d’Ezèchias, historié au commencement ;
(12) — l’Ancien et le Nouveau Testament, en parchemin ;
(13) — un petit livre, en papier, qui parle de la Passion ;
(14) — un grand livre en parchemin, nommé Titus-Livius ;
(15) — un grand livre, en papier, nommé des Bonnes Meurs ;
(16) — un livre roman, en parchemin, tout neuf, qui parle De Bello Punico ;
(17) — le roman de Saugrin, en parchemin ;
(18) — un grand livre nommé Tristan et Lancelot ;
(19) — un livre en parchemin, nommé Ponthus ;
(20) — un livre nommé Bouquasse, en parchemin, tout neuf, historié ;
(21) — un livre, en parchemin, parlant d’amour et de chansons ;
(22) — un livre, en parchemin, nommé la vie de saint Sylvestre ;
(23) — un livre qui parle de Lancelot, et qui est bien vieil ;
(24) — un grand livre, en parchemin, aux armes d’Albret, couvert de cuir rouge, à cinq gros clous de chaque côté dorés, et commence en rouge : Ce sont les rebriches en tout le livre des propriétés, et commence au premier livre, après la table : A très haut et très puissant prince Charles de Croy ;
(25) — un livre moyen, en parchemin, historié, qui parle de la vision de Christine;
(26) — un cahier de vieux romans, en parchemin ;
(27) — un petit livre, en parchemin, commençant : Charles ly roys à la barbe grisade, couvert de postes rouges.

Source : Archives départementales des Pyrénées atlantiques, E. 74.

(2) = Bible historiale ?
(4) = Jacques de Cessoles, Le livre des échecs moralisés, trad. de Jean de Vignay [ Lien ] ou Evrart de Conty, Le livre des échecs amoureux  [ Lien ]
(5) = Guillaume de Digulleville [ Arlima ]
(7) = Les Histoires de Romme. Voir le ms Paris, Arsenal, 5228 [ Lien ]
(10) = Peut-être, les matines données par Bonne de Berry, fille du duc Jean, épouse de Bernard d’Armagnac, par son testament du 18 septembre 1430 : Matutinas confectas secundum usum romanum copertas de rubeo. C. Samaran, De quelques manuscrits ayant appartenu à Jean d’Armagnac, dans Bibliothèque de l’Ecole des chartes, 66, 1905, p. 246n [ En ligne ]
(14) = traduction de Tite-Live par Pierre Bersuire. Ouvrage en vogue dans les collections d’Armagnac [ Lien ]
(16) = De bello punico de Leonardo Bruni traduit par Jean Le Bègue
(18) = cycles en prose de Tristan et de Lancelot
(19) = Ponthus et Sidoine [ Lien ]
(20) = Boccace
(24) = Bartholomaeus Anglicus, De proprietatibus rerum, dans la traduction française de Jean Corbichon. Voir par ex.  M. C. Seymour, “Some Medieval French Readers of De Proprietatibus Rerum ”, dans Scriptorium, 28, 1974, p. 100-103. Charles Ier de Croÿ, né en 1455, aîné de Philippe Ier de Croÿ (1434-1482), 2e comte de Chimay et de Walpurge fille de Vincent comte von Mors (1440-1483). Décède le 11 septembre 1527. Bibliophile.
(25) = Christine de Pisan : La vision de Christine [ Lien ]
(27) = Le Roman de Ronceveaux [ En ligne ]


Château de Nérac

Documentation :
Paris, AN J 860. Ratification, obligations pour la dot et autres actes du contrat de mariage entre Charles d’Albret, comte de Dreux, et Anne d’Armagnac, fille de Bernard VII, comte d’Armagnac, connétable de France, 23 mai 1418. — Copie, s. d.
Paris, AN J 861. Testament d’Anne d’Armagnac, dame d’Albret, veuve de Charles II d’Albret, comte de Dreux et seigneur de Gaure, 6 avril 1472. — Vidimus par un notaire public à Nérac, parch., 23 février 1510.

18 Sep 2011
Jean-Luc Deuffic

Fac-similés … à défaut d’originaux

Une liste de fac-similés bien utile …. [ facsimiles.pdf ]
Source : Old Manuscripts & Incunabula – Specialists in Facsimile Editions PO Box 6019 FDR Station, New York NY 10150 


Les Très Riches Heures du duc de Berry, © Musée Condé de Chantilly, ms. 65. Ed. Molineiro.

16 Sep 2011
Jean-Luc Deuffic

La Bible de Souvigny (Moulins, Médiathèque manuscrit 1) sur la toile …

Joyau de l’enluminure médiévale, le plus célèbre manuscrit de la médiathèque communautaire de Moulins, la Bible de Souvigny, est désormais numérisée …
[ Lien ]


f. 369v. Détail.

Cette Bible provient du prieuré de Souvigny, qu’elle a quitté au moment des confiscations révolutionnaires pour devenir propriété de l’Etat, avec les autres livres de Souvigny et des couvents de Moulins. C’est un manuscrit sur parchemin de 400 feuillets et de grande taille (56 x 39 cm), qui contient le texte en latin de l’ancien et du nouveau Testament, avec les préfaces aux livres bibliques. La première mention de cette bible se trouve dans l’obituaire du prieuré de Souvigny, manuscrit du quinzième siècle conservé à la médiathèque communautaire. Appelé également Livre des anniversaires, cet ouvrage mentionne les offices célébrés par le prieuré en mémoire de ses bienfaiteurs. Pour l’anniversaire de messire Bernard, sacristain de Saint Mayeul, un office plein est célébré le 13 novembre, en souvenir du bien qu’il a fait au prieuré en faisant faire, entre autres, une dizaine de manuscrits et plus particulièrement « un livre très précieux contenant l’ancien et le nouveau Testament (preciosissimam historiam continentem novum et vetus testamentum). Il s’agit sans doute de la Bible de Souvigny … [ suite ]

Rapport de la commission chargée de l’examen de la Bible de Souvigny [ En ligne ]

Bibliographie
Patricia Stirnemann, Nouveau regard sur la Bible de Souvigny, Moulins, Ville de Moulins, 1999 56 p.
Walter Cahn, The Souvigny Bible. A Study in Romanesque Manuscript Illumination. New York, Univers., 1967, 655 p.
Michèle Labrousse, Étude iconographique et stylistique des initiales historiées de la \ »Bible de Souvigny\ » dans Cahiers de civilisation médiévale vol. 8, 1965, p. 397-412.


\ »Calendrier de Souvigny\ »

15 Sep 2011
Jean-Luc Deuffic

Les livres manuscrits de la reine Blanche de Navarre (+ 1398)

La remarquable contribution de Brigitte Buettner, « Le système des objets dans le testament de Blanche de Navarre », Clio, numéro 19-2004, Femmes et images [En ligne],  me donne l’occasion de publier ci-dessous la liste des livres manuscrits décrits dans les dispositions testamentaires de Blanche de Navarre.

Blanche de Navarre (ou Blanche d’Evreux), seconde épouse du roi Philippe de Valois le 29 janvier 1349. Veuve en 1350, décède le 5 octobre 1398 ; inhumée à la basilique de Saint-Denis.

Les chiffres entre parenthèses renvoient à l’édition du testament par Léopold Delisle.

Testament du 18 mars 1395 (n. s.)

à l’ostel Dieu de Vernon … un livre de la vie monseigneur saint Loys de France qui est en françoys, pour lire aux dames quant elles veilleront à l’ostel, pour avoir memoire de saint loys de qui ilz sont fondez.

Codicille du 20 mars 1396 (n. s.)

(195) – à Isabeau de Bavière un de noz livres qui se commance : Audi fili Israël, et y a pluseurs bons enseignemens, et fu à ma ditte dame la royne Jehanne de Bourgongne, et lui prions que elle le vueille garder sa vie durant pour amour de nous ;
(196) – à Charles III, roi de Navarre, le breviaire qui fu monseigneur le roy saint Loys de France, lequel l’ange lui apporta en la chartre quant il fu pris des ennemis de la foy, et fu monseigneur le roy Phelippe, son filz ainsné, qui mourust en Arragon, mary de madame la royne Marie, nostre besaiole, et le lui donna en sa vie. Et depuis est venu de hoir en hoir de la ligniée monseigneur saint Loys. Et le nous donna nostre frère le roy de Navarre, son père. Et pour reverence et la sainteté de monseigneur saint Loys, et que par grace il est venu de la ligne de nous, et depuis que nous eusmes le dit breviaire promeismes à nostre frère que il retourneroit en nostre ligne, nous voulons et ordonnons que à nostre dit neveu il demeure, et desormais ensuivament à ses successeurs, senz estre aucunement estrange, et les requerons que ilz le facent tousjours garder comme precieux et noble jouel venu de noz ancesseurs, et qu’il ne parte point de la lignie. ;
(197) – au même, nostre livre des Croniques de France ;
(198) – au duc de Berry nos plus belles heures que nostre très chiere dame et mère, que Dieux pardoint, nous lessa à son trespassement ;
(200) – au duc de Bourgogne le psaltier ou monseigneur saint Loys aprint ; et fu à madame la grant duchesse Agnès, duchesse de Bourgongne, sa fille ; et depuis la duchesse Agnès vint à nostre dicte dame la royne Jehanne de Bourgongne, sa fille ; et en après à nostre dit seigneur et espoux, qui le nous donna, et nous tesmongna, et aussi firent les femmes de la dicte madame la royne qu’il (sic) nous bailla que c’estoit icellui vraiement. Si desirons qu’il soit à la ligne. Et pour ce prions à nostre dit filz que il vueille garder et faire tenir à ses successeurs et en sa ligne, pour l’amour de ceulx dont il est venu;
(202) – au duc d’Orléans nostre bon livre de la Somme le roy, qui fu au roy Philippe le Bel et est bien enluminé ;
(204) – à la reine de Sicile nostre breviare le milleur, qui fut à la dicte madame la royne Jehanne de Bourgongne ;
(207) – au duc de Bourbon nostre livre du gouvernement des princes selon théologie et y a dedans le Livre des eschaz et d’autres choses ;
(209) – à la duchesse de Berry  un livre où est le psaltier et oroisons, qui se commance Beatus vir, et la premiere oroison de saint Elysael, lequel est couvert d’un changant, et fu madame Blanche de Longchamp ;
(211) – à la duchesse de Bourgongne … le livre de Josafas et Balaham et de pluseurs autres choses, et est armoié de France et de Bourgongne et fut à madame la royne Jeanne de Bourgongne ;
(213) – à la duchesse d’Orléans un livre d’oroisons et devocions qui fu à noz très chieres dames la royne Marie et la ditte madame la royne Jehanne d’Evreux ; et le nous donna la duchesse d’Orliens, sa fille, derreniere trespassée ; et se commance apres le kalendrier Gloria in excelsis Deo ;
(214) – à la duchesse de Bar le livre du lignage de Nostre Dame et de ses suers ; et est au commencement dudit livre la louenge de Saint Jehan l’Euvangeliste ;
(218) – à la duchesse de Bretagne nostre breviaire qui fu nostre sueur madame Jeanne de Navarre, de Longchamps, lequel nous avons fait estoffer ;
(222) – à la comtesse de Foix nostre livre de l’Enseignement du mirouer des dames lequel est couvert de veluau, et a les fermoirs d’argent => voir note
(223) – et un psaltier qui fu nostre très chiere dame et mère, que Dieux absoille ; et y a sept paires de heures de pluseurs oroisons.
;
(225) – à Pierre de Navarre nostre livre des Croniques d’oultre mer ;
(229) – à Jeanne de Navarre, vicomtesse de Rohan, nostre livre du pelerinage du monde, où il y a pluseurs oroisons, et est cellui qui parle de la mort.
(230) – Et noz heures de Nostre Dame, où nous disons touz les jours nos heures, qui furent madame nostre mère, que Dieux absoille, qui sont les meilleurs que nous aions, apres celles que nous lessons à nostre dit filz de Berry ;
(233) – à Marie de Navarre un breviare à l’usage de Romme, qui fut achaté à Paris, et est la couverture brodée sur satarin (sic) yude à or et à perles et est d’un côté l’adnunciation et d’autre le crusifix ;
(236) – à la même, un rommant qui au commancement  parle du pelerinage de Jhesu Crist, et pluseurs autres bons enseignemens ;
(238) – au comte d’Étampes nostre livre où sont les euvangiles des quatre euvangelistes et plusieurs sermons en françoys qui fut à la mère de monseigneur saint Loys de France ;
(242) – à Charles de Rohan, fils de Jeanne de Navarre, le livre du déduit des chiens et oyseaux que fist messire Gasse de La Buyne, jadiz chapellain des troys roys ; => voir note
– à la dame de Fontenay nostre messel escript en françois ;
– à la dame de Gisors, un psaltier qui a les fermoirs l’un de France et l’autre de Champaigne ;
– à la dame de La Mote nostre roman de Sydrac ;
– à frère Pierre Bassin, son confesseur, le livre où est la vie des Pères, le dialogue Saint-Gringoire et son pastoral ; => voir note
(274) – à Jeanne La Besaine, sa première demoiselle, un livre où il y a pluseurs romans ;
(277) – à Jeanne de Rouvières, sa demoiselle, le livre qui aprent à bien vivre et bien morir ;
(278) – et pluseurs miracles de Nostre Dame ;
(279) – Et l’un de noz deux livres de cirurgie ;
(280) – Avecques le bréviare qui fut Jehanne de France, nostre fille, où elle aprint, que elle a en sa garde ;
(288) – à sa filleule Blanche, fille de Jean Le Porchier, dame de Troussy, un gros livre des miracles Nostre Dame abregiées en prose, couvert de cuir rouge ; et y a pluseurs bonnes choses, c’est assavoir de sainte Baudeur, de sainte Élysabel, de saint Gile et la voie d’enfer et de paradis ;
(291) – à Jehanne du Mesnil, sa demoiselle, le livre de la Somme le Roy où sont les remèdes contre les pechiez ;
(293) – à Marguerite de Vimont, sa demoiselle, le livre nommé le Tresor de l’ame et parle des sept pechiez mortelx et d’aucuns examples et remèdes contre iceulx, et de plusuers autres choses ; et est couvert de cuir vert ; => voir note
(297) – à Margot, femme de Robert Legrant, sa demoiselle, le livre du Salterion de X cordes, de Anticlaudien, les vies de pluseurs sains et moult d’autres bonnes choses ;
(299) – à Agnote, sa demoiselle, un livre qui enseigne la vie devote et si contient le testament de maistre Jehan de Meun et plusieurs sermons ;
(307) (425) – à Jeannette Sante, le livre de Si nous dit ;
(314) – à frère Robert Cresserel le livre du gouvernement des princes selon philosofie, et le fist frère Gille l’augustin ; => voir note

Codicille du 10 septembre 1398

(405) – pour et en lieu du livre d’oroisons et devocions que nous lessions en nostre dit premier codicille à nostre tres chiere fille la duchesse d’Orleans, lequel fu a noz tres chieres dames la royne Marie et la royne Jehanne, nous voulons et ordennons que notre ditte fille ait nostre breviaire à l’usage de Romme, qui est en deux volumes, qui fu ma ditte dame la royne Jehanne.

(427) – à Symmonete, femme de chambre, un de noz livres de cirurgie ;

NOTES

[200]. Leyde, BU 76A. f. 30v : Cist psaultiers fuit mon seigneur saint looys qui fu Roys de france ou quel il aprist en senfance … f. 185r : Cist psaultiers fu mon seignor // saint looys qui fu roys de france // du quel il aprist en sanfance.
Voir Inventaire de 1420. Henri Omont, Miniatures du Psautier de St. Louis, manuscrit Lat. 76a de la Bibliothèque de L’université de Leyde, Édition Phototypique. Leyde: A.W. Sijthoff, 1902. [ En ligne ]


Leyde BU 76A, f. 17r.
Quelques folios numérisés sur le site de la BU de Lyde [ En ligne ]

[222] Jeanne d’Aragon (1375-1407), fille de Jean Ier d’Aragon, roi d’Aragon, et de Marthe d’Armagnac, comtesse de Foix par son mariage avec Mathieu de Foix-Castelbon.
[242]
Charles de Rohan, fils de Jean de Rohan et Jeanne d’Evreux, marié le 10 mars 1405  avec Catherine du Guesclin, dame héritière de la Morelière, de Chastelain, de Lignières et du Verger (+1461).  » … a fait la tige des seigneurs de Guemené » (Dom Morice, 1742-6); en 1462, obtient le droit de porter sur un carreau le cercle royal du duc (Trévédy, 1898)
Pierre Basin, « serviteur et orateur … confesseur de madame la royne Blanche … (ADN, B 454, 9156) fut un de ses exécuteurs testamentaires. Le recueil manuscrit cité doit correspondre au London, BL, Add. 20697, ayant appartenu à l’abbaye normande de Saint-Evroult. « Iste liber pertinet fratri Petro Basin, quem fecit scribi Neauphe dum erat ibi residens cum domina regina Blancha, cujus deus habeat animam (f. 32). Voir P. Me yer, « Notice sur le ms. du Musée britannique Add. 206 », dans Bulletin de la Société des anciens textes français, 1892, n° 2, p. 94-95.
[293] femme de Jean de Galard, seigneur de l’Isle-Bouzon ?
[314] « compaignon de nostre confesseur »

Sur un missel que Blanche de Navarre fit faire : Georges Doutrepont, La littérature française à la cour des ducs de Bourgogne [ En ligne ]

Epitaphe de Blanche de Navarre à Saint-Denis :

Source : Archives départementales des Pyrénées atlantiques E 525.
Bibliographie
Kervyn de Lettenhove, Le Psautier de saint Louis, de la bibliothèque de l’Université de Leyde, ln-8° de 11 p.
Léopold Delisle, « Testament de Blanche de Navarre, Reine de France », Mémoires de l’Histoire de Paris et de l’Île-de-France, XII, 1885, p. 1-64.
Marguerite Keane, « Most beautiful and next best: value in the collection of a medieval queen », dans Journal of Medieval History, Volume 34/4, 2008, p. 360-373.
A paraître : Marie-Thérèse Gousset (Paris – BnF) : Un aspect de la production courante des enlumineurs parisiens sous le règne de Philippe VI de Valois et de Blanche de Navarre : l’exemple du Maître de la Dame à la licorne.

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