ARS MEDIAEVALIS : Pensar en imágenes, pensar con imágenes en la Edad Media
Le Colloque \ »Pensar en imágenes, pensar con imágenes en la Edad Media\ » se tiendra à Aguilar de Campoo (Palencia), du 7 au 9 octobre 2011, au Monasterio de Santa María la Real.
Plusieurs communications concernent le manuscrit médiéval.
Beatus de L’Escorial, f. 142v : Adoration divine et Théophanie finale
Viernes, 7 de octubre
10.15 h : Fabio Troncarelli (Università di Viterbo) : El rey está desnudo. Teodorico y la Rueda de la Fortuna
11.30 h : Alejandro García Avilés (Universidad de Murcia) : Imágenes reminiscentes. Las ilustraciones del nuevo Aristóteles en los siglos xiii y xiv
13.00 h : Maria Alessandra Bilotta (Université Lille III-Universidade Nova de Lisboa) : Pensare in immagini, pensare con le immagini : l’esempio dell’illustrazione del Decreto di Graziano nel Medioevo
13.20 h : Maria Paola Saci (Università degli Studi di Viterbo) : Ludovico Lazzarelli y las imagenes de los Dioses
16.00 h.: Marta Serrano Coll (Universitat Rovira i Virgili de Tarragona) : Falsas historias, proposiciones certeras. Dominio visual e imágenes persuasivas en el entorno áulico de la Corona de Aragón
17.00 h : Teresa Izquierdo Aranda (Universidad de Valencia) : La imagen como símbolo de identidad corporativa. La cofradía de carpinteros de Valencia: construcción y representación de su imagen como corporación
17.20 h : Fuensanta Murcia Nicolás (Universidad de Murcia) El sacramento diabólico. Teoría e imágenes para el pacto con el Diablo en la Baja Edad Media
18.20 h : Victoriano Nodar Fernández (Universidade de Santiago de Compostela) Imágenes para el Príncipe, imágenes para el Monje : Función y decoración de la cabecera del Santiago de Compostela (1075-1101)
18.40 h : Sandra Sáenz-López Pérez (CCHS, CSIC) : Imágenes medievales de esculturas policromadas: el color como fuente de vida
19.00 h : Inês Afonso Lopes (École des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Paris-Universidade do Porto) : La posición de uno frente a la imagen. Interpretación fenomenológica : el estudio de las pinturas murales de San Francisco de Bragança
Sábado, 8 de octubre
09.00 h : Olga Pérez Monzón (Universidad Complutense de Madrid) : Escenografías funerarias en la Baja Edad Media
10.00 h : Joan Molina Figueras (Universitat de Girona) : Imágenes y memoria. Construcción, metamorfosis y olvido
12.00 h : Marta Poza Yagüe (Universidad Complutense de Madrid) : ‘Liberum uobis damus et liberum custodite’. El episodio de la Matanza de los Inocentes en Santo Tomé de Soria, ¿crónica de la historia?
12.20 h : Carles Sánchez Márquez (Universitat Autònoma de Barcelona) : ‘Docere necessitatis est, delectare suavitatis, flectere victoriae’ : el claustro de Santa María de l’Estany y la cultura visual profana en la Cataluña del siglo xiii
12.40 h : Juan Antonio Olañeta Molina (Universitat de Barcelona) : Pensamiento y lectura tipológica de las imágenes románicas: El caso de la iconografía de Daniel en el foso de los leones
13.00 h : José Alberto Moráis Morán (Universidad de Extremadura) : Topografías monumentales de lo antiguo o la imagen del mundo como lección medieval de arte clásico
16.30 h : Excursión facultativa a monumentos románicos palentinos
Domingo, 9 de octubre
09.00 h : Rosa Alcoy Pedrós (Universitat de Barcelona) : Ideas para lo ordinario y para lo extraordinario en las representaciones góticas de la Pasión de Cristo: prospecciones en Cataluña y en otros contextos del 1300
10.00 h : Patrick Henriet (École Pratique des Hautes Études. Paris) : La imagen en la imagen. Estatuas, imperios terrestres e idolatría en las miniaturas del Comentario del Apocalipsis de Beato y del Libro de Daniel de San Jerónimo (siglos x-xiii)
12.00 h : Laura Bartolomé Roviras (Universitat Autònoma de Barcelona) : El maestro del tímpano de Cabestany. Pensando en imágenes el Tránsito de María
12.20 h : Laura Fernández Fernández (Universidad Complutense de Madrid) : La palabra como imagen del poder : la cultura escrita y su dimensión simbólica en la construcción del lenguaje visual de la Notitia Dignitatum
13.00 h : Mesa redonda (modera : Gerardo Boto Varela) : Cultura textual e icónica del Medievo : pensar en imágenes para pensar con imágenes
13.30 h : Síntesis y perspectivas del coloquio Ars Mediaevalis : Esther Lozano López (Universitat Rovira i Virgili)
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Fundación Santa María la Real
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Fax.: (+34) 91 521 86 27
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Ventes octobre 2011 : Heures, bréviaires …
9 octobre 2011 – Vente Livres Anciens et Modernes : Versailles Enchères Perrin-Royère-Lajeunesse
Lot 67 .- Livre d’heures à l’usage de Bourges. Milieu XV° siècle. In-8 de (108) feuillets ; basane mouchetée, dos à nerfs orné muet.
12 feuillets pour le calendrier, et 96 feuillets pour les heures de la Vierge, les psaumes de la pénitence et l’office des morts (sur 98, il manque le feuillet 34 ainsi que le feuillet 48 qui était blanc; les feuillets 46 et 47 sont également blancs).
– 3 miniatures à pleine page accompagnées d’une initiale fleurie, de quatre lignes de texte et d’une bordure fleurie:
f. 1. L’Annonciation.
f. 49. Le roi David pénitent.
f. 66. Job.
– 8 grandes initiales fleuries, nombreuses petites initiales filigrannées et bouts de lignes dorées sur fond rouge ou bleu.
11 octobre 2011. Librairie Henri Godts – Bruxelles 1050 Brussel
201 — Heures en latin et en français. Rel. moderne : veau brun, dos lisse orné de fers dorés avec pièce de titre « Manuscrit vélin 14e S. », plats au décor
Manuscrit en littera bastarda d’une main soignée et régulière ; écriture plus serrée sur certaines lignes ; réclames et lombardes rouges et bleues ; lettrines peintes en rouge et bleu rehaussées d’or ; grande initiale de 4 lignes au f.13r et d’un filet d’encre bleu et d’or encadrant le texte, bordures ornées de rinceaux se terminant en feuilles.
Calendrier en français ; prières dont quelques-unes en français ; Litanies des saints ; Vigile des morts : les sept Joies de Notre-Dame etc.
Provenance : Montmorency (armes peintes aux f. 79 et 98, 18/19e s.; Henry Guly, f. 103v, 19e s. ; Nédonchel, f. de garde, 1902 au câteau de Boussu) ; Armand Casier, ex-libris imprimé, 20e s. Illustration ci-dessous [ Lien Godts ] – [ Lien Godts ]
(C) Godts
203 – Grande lettrine \ »V\ » peinte sur parchemin figurant l’Ascension. Allemagne, CA. 1400.
Initiale enluminée figurant l’Ascension de Jésus, son visage caché dans un nuage, entouré de 6 Apôtres. Extraite d’un livre liturgique.
JOINT (ens. 2 pièces encadrées) : 1 feuillet manuscrit contenant 2 prières en néerlandais : \ »Een divoet ghebet vander heyligher maghet sinte margriete\ » (r°) et \ »Idem vander werder joncfrouwen sinte maria magdalena\ » (v°). Flandre, 15e siècle. Ms sur parchemin, 11 x 8 cm, sous vitre et cadre de bois chêne. Ms de 17 lignes, lettrines rouges et bleues. Ci-dessous :
(C) Godst 203
206 — Breviariu[m] s[e]c[un]d[u]m ordine[m] regularium capituli Windechimensis. [Antwerp, Gerard Leeu, 15 october 1488]
– Manuscript part, inserted between quires K and L, with hours and prayers to particular saints or for specific liturgical feasts, written in littera textualis, littera hybrida and cursiva on 2 columns rubricated in red and blue, signed by Melchior Loomans and dated 27 August 1529 “in festo sancti Augustini”. Our scribe, Augustine canon (1525-1541) of the priory of Betlehem at Herent (Louvain, Brabant), is also the copyist of a “Regula Sancti Augustini” dated 1529 (Utrecht, Univ. Libr. ms 1589).
Provenance : priory of Betlehem, Herent, OSA (ms annot. on endleaves and in upper margin of aa2) ; Melchior Loomans from Louvain ; “ego frater Egidius” (?).
[sur Bibliorare Catalogue en ligne ]
[ Librairie Henri Godts, Bruxelles ]
8e centenaire de la cathédrale de Reims : des manuscrits à voir à la Carnégie
Dans le cadre du huitième centenaire de la cathédrale de Reims, la bibliothèque Carnegie présente au public jusqu’au 3 décembre 2011 quelques uns des plus beaux manuscrits que la cathédrale conservait aux XIIIe et XIVe siècles. Ces documents, véritables chef d’œuvres de l’art gothique, n’avaient plus été montrés depuis 1978.
L’exposition, pédagogique, abondamment illustrée, permet de comprendre l’histoire et l’organisation du chapitre, cette institution composée de chanoines et de clercs chargés d’administrer la cathédrale.
Le chapitre possédait une importante bibliothèque, enrichie grâce aux dons des membres de la communauté et des archevêques. Ce sont les pièces les plus remarquables de cette bibliothèque que le public pourra découvrir.
Parmi les documents exposés, certains sont de véritables chefs d’œuvre de l’art gothique :
<> La Bible gothique du chapitre (Ms. 34, 35 et 36, XIIIe siècle), ci-dessous, détail f. 154v (photo IRHT / Carnégie) :
<> La Bible de Jean Jennart (Ms. 39-42, début du XIVe siècle) :
La Bibliothèque
C’est au IXe siècle, grâce à l’archevêque Hincmar, que la première bibliothèque s’organise.
Il fait don de plus de vingt de ses ouvrages à la cathédrale. Les livres reflètent les préoccupations de l’époque : ils sont surtout liturgiques, patrologiques et juridiques. Après sa mort, la bibliothèque s’enrichit plus lentement.
Adalbéron (960-988) est connu pour sa correspondance avec le pape Silvestre II (999-1003). La bibliothèque hérite des livres du pape : des ouvrages de sciences mathématiques, de logique, de rhétorique et de poésie.
Au XIIIe siècle, la cathédrale possède plusieurs bibliothèques : le « trésor », qui rassemble les livres d’apparat et les livres liturgiques les plus précieux ; la bibliothèque des chanoines ; la bibliothèque scolaire. La plus importante est la bibliothèque des chanoines, qui a été exceptionnellement bien conservée.
Les chanoines manifestent un grand intérêt pour leur bibliothèque, qu’ils expriment par de nombreux dons ou legs. On peut citer par exemple ceux d’Adam de Nesle (1310-1316), Etienne de Brivata (1345-1356) et Simon de Bourich (1380-1410).
En 1400, l’archevêque Guy de Roye (1390-1409) lègue sa bibliothèque personnelle à ses successeurs, sans doute en vue d’une installation dans le palais archiépiscopal. Sa bibliothèque est impressionnante : 158 volumes théologiques et juridiques, des traductions en français des œuvres du XIIIe et XIVe siècle, ainsi que des œuvres pastorales. Ses livres sont facilement identifiables par les armoiries et les décors.
Guy de Roye décide la construction d’une nouvelle bibliothèque. Sa mort accidentelle –il est assassiné d’un tir d’arbalète alors qu’il se rend au Concile de Pise en 1409 – l’empêche de faire aboutir le projet. C’est donc son successeur Simon de Cramaud (1409-1413) qui commence la construction. Le chapitre aménage alors un bâtiment indépendant à droite du cloître pour tous les livres. Guillaume Fillastre (1392-1427), supervise les travaux qui s’achèvent en 1412. Gilles d’Aspremont réalise un grand récolement la même année, faisant relier à ses frais de nombreux manuscrits.
La bibliothèque du chapitre s’enrichit de deux façons différentes : par les dons des chanoines et ceux des archevêques.
Parmi les chanoines, Guillaume Fillastre donne plusieurs livres de valeur : notamment une célèbre copie de la Cosmographie de Pomponius Mela. C’est aussi le cas d’autres religieux comme Gilles d’Aspremont (1384-1414), ou encore Jacques de La Fosse (1407-1416) qui laisse une bibliothèque juridique.
Les archevêques, souvent lettrés et fortunés, font de nombreux dons. Le plus considérable est celui de Guy de Roye (1345-1409) : plus de 100 volumes couverts d’une double peau montée sur chêne. [ Dossier presse ]
Bibliographie : Le quatrième volume de la collection « Reliures médiévales des bibliothèques de France » est consacré aux manuscrits conservés à la bibliothèque municipale de Reims [ Lien ]
Catalogue des manuscrits de la Bibliothèque de Reims I [ En ligne ] II [ En ligne ] II/2 [ En ligne ] III [ En ligne ]
Contacts presse
Virginie Blum
virginie.blum@reimsmetropole.fr
03.26.77.75.44
Geneviève Dogué
genevieve.dogue@reimsmetropole.fr
03.26.77.75.45
www.cathedraledereims.fr
Bibliothèque Carnégie
Illustration : L’ange au sourire de la cathédrale de Reims
Les Heures de Jeanne de France acquises par l’État français
La Flagellation
Le 16 novembre prochain, à Paris, doit se tenir chez Christie’s France la vente d’une partie de la collection Marquet de Vasselot. Ancien conservateur au Louvre, puis directeur du Musée de Cluny, il avait hérité des œuvres appartenant à son beau-père Martin Le Roy.
La collection Marquet de Vasselot, principalement constituée par le grand collectionneur Victor Prosper Martin Le Roy entre la fin du XIXème et le début du
XXème siècle en France, représente un témoignage capital sur les arts du Moyen-Age et forme un ensemble exceptionnel. La base de la collection formée par Martin Le Roy a été complétée et étudiée par son gendre, Jean-Joseph Marquet de Vasselot, historien d’art, ancien conservateur au musée du Louvre et directeur du musée de Cluny. Ce-dernier a dirigé la publication, en 1906-1909, d’un catalogue complet de la collection, en cinq volumes. Tous deux se sont montrés très généreux envers les musées du Louvre et de Cluny à travers des dons, qui ont considérablement enrichi les collections nationales.
Sur les 24 objets de cette vente, le Louvre et le Musée du Moyen Age en ont déjà pu acquérir quatre, en application de la nouvelle loi du 20 juillet 2011.
Le Ministre de la Culture a également pris, après avis favorable de la Commission consultative des trésors nationaux, une mesure de refus du certificat d’exportation pour trois autres oeuvres issues de cette collection, qui pourront être acquises ultérieurement de gré à gré par l’Etat, en dehors de la vente publique du reste de la collection. Il s’agit d’un Livre d’heures de Jeanne de France, manuscrit enluminé sur vélin, France, milieu du XVème siècle, d’un Feuillet de diptyque byzantin, ivoire, Méditerranée orientale, première moitié du VIème siècle et d’une Plaque représentant les douze tribus d’Israël de l’Ancien Testament, ivoire, France, milieu du XIIème siècle.
Le Livre d’heures de Jeanne de France devrait donc intégrer les collections de la Bibliothèque nationale de France, site Richelieu, et retrouver ainsi les autres manuscrits de cette princesse qui aimait tant les livres. Il s’agit présentement d’un manuscrit enluminé sur vélin de 336 f. mesurant 108 x 70 mm, illustré de vingt-quatre médaillons calendaires, sur trente petites miniatures de calendrier et de 31 grandes miniatures avec de larges bordures, chaque page comportant des bordures aux trois quarts. Vente Christie’s Paris, 16 novembre 2011. Photo : Christie’s.
Saint Jean sur l’île de Patmos
Jeanne de France, fille du roi de France Charles VII et de Marie d’Anjou, née vers 1435, mariée par contrat le 11 mars 1447 au duc Jean II de Bourbon (1426-1488) qu’elle épousa en 1452, est morte sans postérité le 4 mai 1482. Elle était la sœur de Louis XI et la belle-soeur, par son époux, de Charles le Téméraire et d’Isabeau de Bourbon.
On connaît une douzaine de manuscrits qui ont appartenu à Jeanne de France, femme du duc Jean II (1). Sur presque tous ces volumes on voit la signature de la noble duchesse ; sur plusieurs (2), son écu, de Bourbon parti de France ; sur deux (3), un furet (en réalité une genette) attaché à un grand \ »J\ », initiale du mot Jeanne ; dans le manuscrit français 227, à côté du furet se déroule une banderole chargée de la devise AU CHOIS T’É ELUE. Antoine de Lévis, comte de Villars, dédia à Jeanne de France sa traduction du Défenseur de la Conception immaculée de la sainte Vierge (4). Le traité intitulé la Gésine Notre Dame (5) fut composé pour la même dame par Jean Henry, chantre de Paris, à la requête de frère Raoul, ermite de la forêt de Haus. Jeanne s’entendit avec le cardinal Charles de Bourbon pour faire écrire une histoire de saint Louis (6). [ Léopold Delisle, Cabinet des manuscrits, I, p. 169 ]
(1) 29 (Vita Christi, de François Eximenes de l’ordre des Frères mineurs), 227 (Boccace, Des cas des nobles hommes et femmes), 329 (La Boucquechardière), 452 (Le Livre des trois vertus à l’anseignement des dames, de Christine de Pisan), 707 (Le Livre des conquestes et faitz d’Alexandre), 926 (Le traitié de l’esguillon d’amour divine …), 975 (La vie et legende de sainte barbe / Hystoire de la saincte passion de Jesus Christ), 989 (Le Deffenseur de l’Immaculée Conception de la glorieuse vierge Marie), 1165 (Moralités du gieu des esches, …), 1866 (La Gesine Nostre Dame), 2611, 2612 (Les Grandes Chroniques de France) et 5056.
(2) Mss. français 29, 227, 329, 989 et 1877.
(3) Mss. français 227 et 1867.
(4) Ms. français 989. Cf. P. Paris, Les manuscrits françois, VII, 402sq. Il y a au commencement de ce manuscrit une miniature de présentation dans laquelle on peut voir un portrait de Jeanne de France.
(5) 1866 du fonds français.
(6) 2829 du fonds français.
Sur les manuscrits de Jeanne de France, voir entre autres F. Avril et N. Reynaud, Les manuscrits à peintures, p. 271, 349, 358, 360.
(C) Paris, BnF, Fr. 227. Détail. Armes et emblême de Jeanne de France. \ »Des cas des nobles hommes et femmes\ », traduction du De casibus virorum illustrium de Boccace – Tours, 1468?
(C) Paris, BnF, Fr. 227. f. 415. Colophon
(C) Paris, BnF, Fr. 227. f. 415. Emblème et devise de Jeanne de France
Bibliographie
Voir la récente et passionnante étude de Virginie Mézan-Muxart, \ »Genette et janette, devises de Jeanne de France au XVe siècle\ », dans Reinardus. Yearbook of the International Reynard Society, volume 22, 2010, p. 104-125.
Marie-Elisabeth Bruel, \ »Un témoignage de l’attachement du duc Jean II de Bourbon et de Jeanne de France à l’Immaculée Conception : la messe fondée en 1475 dans la Collégiale de Moulins\ »
dans Etudes bourbonnaises, 309, 2007, p. 191-199
Diptyque de Jeanne de France. Rogier van der Weyden. Musée Condé à Chantilly [ Lien ]
Sources : www.culture.gouv.fr/ – La tribune de l’Art –
Site de la maison Christe’s –