Instructions à l’enlumineur : l’exemplaire du « Livre des vices et des vertuz » de la duchesse de Bretagne, Isabeau Stuart (1464)
© Paris, Bibliothèque nationale de France. Fr. 958. Frontispice.
Le manuscrit de la Bibliothèque nationale de France, Fr. 958, un exemplaire du Livre des vices et des vertuz de frère Laurent [d’Orléans], copié en 1464 par Jean Humbert pour la duchesse de Bretagne, porte en frontispice les portraits d’lsabeau Stuart et de ses deux filles : Marguerite, mariée à François Il, duc de Bretagne (+ 1469), et Marie, épouse de Jehan de Rohan (les armes figurant sur leurs robes permettent de les distinguer). Elles sont agenouillées devant une Vierge de pitié, à laquelle les présentent, respectivement, saint François d’Assise, saint Pierre martyr et sainte Madeleine. François Avril, citant le peintre de ce frontispice, le met en relation avec celui des Heures de Pierre II, duc de Bretagne (Paris, BnF, Lat. 1159), et avec l’auteur des portraits de François 1er et d’Isabeau Stuart dans les Heures de cette dernière (Paris, BnF, Lat. 1359, p. 38 et 58).
Au f. 122v, le copiste nous livre son nom et celui de son commanditaire :
« Ysabeau aisnée fille de roy d’Escoce duchesse de Bretaigne // contesse de Montfort et de Richemond fist faire ce // livre qui le trouvera le luy rende et le fist escripre // a sa dévotion de la main de Jehan Hubert // en l’an mil quatre cens soixante quatre ».
© Paris, Bibliothèque nationale de France. Fr. 958, f. 122v.
Le patronyme Hubert semble être bien attesté dans la région nantaise, comme ce \ »Jehan Hubert\ », procureur des bourgeois de Nantes en 1492 (Le Livre Doré de l’Hotel de Ville de Nantes, I, p. 65sq.), qui est peut-être le \ »maistre Jehan Hubert, p[rocureu]r dud. sr de Rays\ », à l’entrée joyeuse de l’évêque de Nantes, le 3 novembre 1500 (Revue historique de l’Ouest, 7, 1890, p. 833). Plus près de la composition de notre manuscrit, le 25 février 1431, le duc Jean s’adresse à ses \ »cappitaine, bourgeoys, miseurs et repareurs de… de Nantes…\ », dont \ »Jehan Hubert\ » … noz subgiz, demourans en nostre ville de Nantes\ » (R. Blanchard, Lettres et mandements, n° 1938). Et dans la liste des témoins du procès de Gilles de Rais (1440) figurent Jehan Hubert et sa femme, de saint Leonart de Nantes. Mais, bien entendu, rien d’assuré que le copiste de la Somme le roi ait exercé à Nantes … bien que la capitale bretonne possédait à cette époque des \ »maistres écripvains\ », comme ce Robert, ung clerc escrivant telle manière de lettre, avecques pluseurs autres manières, comme lettre bastarde, lettre curialle ou lettre de minute, lequel introduira et enseignera à tailler leurs plusmes, o toute bonne deligence de l’art d’escripture … [ voir ]
La Somme le roi de frère Laurent d’Orléans, également \ »appellé le Mireur du monde, que aucuns appellent Vices et vertus\ », manuel de morale religieuse, eut un énorme succès au bas Moyen Âge. Peu après sa composition, il fut complété par un programme iconographique d’une quinzaine de tableaux aptes à illustrer le texte pour le public.
Parmi les originalités du manuscrit Fr. 958 relevons les diverses notes d’instruction à l’enlumineur que Jean Hubert a introduites en 1464 dans le texte même sans en comprendre véritablement la nature. Mais peut-être, l’exemplaire qu’il transcrivait, n’avait-il lui non plus pas encore fait la distinction entre ces notes particulières et l’oeuvre de frère Laurent, achevée en 1279 à la requête du roi de France Philippe le Hardi, dont près d’une centaine de copies nous sont restées. Quoiqu’il en soit, elles nous montrent comment l’enlumineur recevait ses instructions du libraire ou du maître d’atelier. Nous les avons mises en comparaison avec celles du manuscrit Paris, BnF, Fr. 14939, copié en 1373 (voir L. Delisle, Recherches sur la librairie de Charles V, I, p. 236sq).
Dans notre manuscrit, sur les quinze tableaux généralement relevés, manquent le 4e qui devait représenter le Jugement dernier : les f. 30-31 ont en effet disparu. De même, ne figurent pas les tableaux :
11 : Equité – Félonie
12 : Prouesse
13 : Miséricorde – Avarice
14 : Chasteté – Luxure
15 : Sobriété – Gloutonnerie – le mauvais riche – Lazare
Voici donc les instructions à l’enlumineur :
Au f. 4 [= f. 94v du BnF, Fr. 14939 ? : Delisle, p. 244 ] : 2e tableau : les apôtres rédigent les articles de la foi
Cy apres doiuent estre pains les douze appostres en seant // et ou millieu des appostres doit auoir ung liure ouuert // sur ung lectrin et chancun appostre y doit monstrée o le doy // en semblance de diuiser le credo et dessur le lectrin doit // auoir ung coulon descendant du ciel qui gecte par le // bec semblance de feu, lequel feu doit descendre en semblance // de soulleil sur chancun appostre et commance ce liure en telle // maniere Ce sont les douze articles de la foy crestienne
© Paris, Bibliothèque nationale de France. Fr. 958, f. 4v
Au f. 6 : 3e tableau : la Bête de l’Apocalypse
Cy apres doit auoir une beste qui ysse de la mer m[er]ueilleusement // espouentable et desguisée car elle a sept testes et diz cornes // et diz couronnes, le corps de la beste est de liepart et les piez // de ours et la goulle de leon, et si auoit pouoir ce dit saint // Jehan de soy combatre contre les sains hom[m]es. Et ce que // ceste beste si horible signifie vous les orez ia cy apres // declairez moult clerement et moult prouffitablement // qui bien et diligeaument y vieult entendre et pencer [ miniature corespondante au f. 6v ]
Au f. 41 : 5e tableau : Le jardin des vertus :
Cy doit auoir sept arbres estans et celuy du milieu doit // estre le plus gra[n]t et a ch[a]n[cu]n pie des sept arbres doit auoir // une pucelle qui prent eaue o ung bacin en une fontai[n]e // pour arouser le pied de larbre et desoubz les sept arbres // doit auoir une riuiere la ou les sept fontaines descende[n]t
© Paris, Bibliothèque nationale de France. Fr. 958, f. 41r
Au f. 44 : 6e tableau : Jésus prêche sur la montagne [= f. 86 du BnF, Fr. 14939 : Delisle, p. 244 ] :
Cy doit estre comment n[ost]re s[eigneu]r presche a ses disciples // en la montaigne et tient en sa main senestre une // ronde chose partie en troys et les doze appostres sont // au pie de la montaigne de ch[auc]une part et dessoubz // les appostres gra[n]t multitude de gens qui regarde[n]t // en hault pour oir le sermon de la sainte patenostre
© Paris, Bibliothèque nationale de France. Fr. 958, f. 44
Au f. 53 : 7e tableau : la descente du saint Esprit sur les apôtres [= f. 94v du BnF, Fr. 14939 : Delisle, p. 244 ] :
Cy doit estre n[ost]re s[eigneu]r en une nue tena[n]t une pom[m]e en sa // main senestre et saigna[n]t o sa main dextre et dessoubz // la nue doit avoir ung coulomb qui checte feu sur // les doze appostres qui sont dessoubz en seant et regarda[n]t // le coulomb [ miniature correspondante au f. 54 ]
Au f. 57 : 8e tableau : Les quatre vertus : Prudence, Tempérance, Force et Justice [= f. 97v du BnF, Fr. 14939 : Delisle, p. 244-245 ] :
Cy doit estre paingte prudence actemperance force et justice // prudence doit estre une damme qui se siet en une chayere // qui tient ung liure ouuert et list a ses disciples qui // sient a ses piez Actemperance doit estre paingte de costé // en la part senestre et doiuent estre deux dammes séantes // a une table mise de viandes et lune des dammes parle // a lautre par contenance de mains et dessoubz la table // a ung poure a genoilz qui prent ung henap au pie // et boit Force doit estre paingte dessoubz a dextre une // damoiselle en estant vestue dun mantel et tient entre ses deux mains ung lion en ung compas tout en // forme dun platel. Justice doit estre après a senestre // en seant en une chayere et tient en une main une // espée et en lautre main une espée / blanc / en semblance // de peser [ cette dernière phrase peut être corrigée et complétée grâce au ms. Paris, BnF, Fr. 14939 : // espée et en lautre main une balance en semblance // de peser ]
© Paris, Bibliothèque nationale de France. Fr. 958, f. 57v
Au f. 60, la note à l’enlumineur, à partir de la 5e ligne, est incluse dans le texte même de frère Laurent. 9e tableau : Humilité et Orgueil [= f. 100v du BnF, Fr. 14939 : Delisle, p. 245 ] :
Cy doit auoir iiii y[m]ages la premiere //doit estre par dessus dextre une dame en estant qui a nom Humilité et doit // tenir ung aignel en ung compas ront Après deuant soy doit auoir // une tour et aux creneaulx dicelle tour doit auoir une ymage qui cheit // des creneaulx aual qui a nom Orgueil et dessoubz Humilité doit auoir // une ymage en ung mantel a genoilz deuant lautier humblement en // orayson et dessoubz la tour doit auoir deuant ung autier ung homme // a genoilz et ne regarde mie la tour ains regarde de derriere soy // et la monstre o le doy en semblance de moquer, ce sont le pecheur et lipocrité.
© Paris, Bibliothèque nationale de France. Fr. 958, f. 61
Au f. 66 : 10e tableau : Pitié et Amitié (miniature de la Trinité)
Cy apres doit estre paincte la Trinité tenant en la main // dextre ung rollet blanc, ouquel est escript Effundam de // spiritu meo super omnem terram. Et au dessoubz a dextre // Nostre Damme a genoilz ou milieu des doze appostres les mains // joinctes regardant la Trinité. Et a la senestre doit estre le // pappe les cardinaulx archeuesques euesques docteurs // impereurs imperieres roys roynes ducs duchesses // cheualliers escuyers dammes damoiselles et tout autre // populaire lesquels le Trinité enluminé de rays de // soulail [ miniature corespondante au f. 67 ]
Le manuscrit Genève 163 a été exécuté d’après le BnF, Fr. 958 [ description au catalogue en ligne ]
Pour les notes du ms. Paris, BnF, Fr. 14939, voir Léopold Delisle, Recherches sur la librairie de Charles V, Paris, 1907, I, p. 244-246.
Quelques manuscrits numérisés
Paris, BnF, Fr. 459 : « Le Livre qui est appellé le Mireur du monde, que aucuns appellent Vices et vertus, les autres l’appellent la Somme le roy » [ Gallica ]
Paris, BnF, Fr. 938 [ Gallica ]
Paris, BnF, Fr. 958 [ Gallica ]
Paris, BnF, Fr. 1745. Traduction provencale [ Gallica ]
Paris, BnF, Fr. 2427. Traduction provencal [ Gallica ]
Paris, BnF, Fr. 9628 [ Gallica ]
Biblio (non exhaustive)
C. Couderc, Album de portraits d’après les collections du département des manuscrits, Paris, s. d. (1908), p. 38 et pl. lxxxv.
Margaret R. Toynbee, \ »The Portraiture of Isabella Stuart, Duchess of Brittany (c. 1427-after 1494)\ », dans The Burlington Magazine for Connoisseurs, vol. 88, Dec. 1946), p. 300+302-306.
Manuscrits à peintures du XIIe au XVIe siècle, Paris, Bibliothèque nationale, 1955, n° 240, p. 112.
La Bretagne au temps des ducs. Expo Abbaye de Daoulas, 1991-1992, n° 58-59.
F. Avril et N. Reynaud, Les manuscrits à peintures, Paris, 1993, p. 177-178, n° 95.
M. Mauger, Bretagne chatoyante, 2002, p. 93.
Diane E. Booton, Manuscripts, Market and the Transition to Print in Late Medieval Brittany, Ashgate, 2010, p. 29 et 292.
Pour les manuscrits de la Somme le roi de Frère Laurent, et bibliographie, voir [ARLIMA]
Edition récente : Anne-Françoise Labie-Leurquin, Édith Brayer, Frère Laurent, La Somme le roi, Paris – Abbeville, Société des anciens textes français – Paillart, 2008 [ lien ].
S. Berger et P. Durrieu, Les notes pour l’enlumineur dans les manuscrits du Moyen Âge, extr. des Mémoires de la Société nationale des Antiquaires de France, 3, 1893, p. 1-30 ; repris dans Le manuscrit, 1, 1894, p. 140-142 ; 171-174.
G. Hasenohr, « Tradition du texte et tradition de l’image. À propos d’un programme d’illustration du Theodolet », Miscellanea codicologica F. Masai dicata MCMLXIX, éd. Pierre Cockshaw, Monique-Cécile Garand et Pierre Jodogne, Gent, Story-Scientia (Publications de Scriptorium, 8), 1979, t. 2, p. 451-467.
A. Stones, « Indications écrites et modèles picturaux, guides aux peintres de manuscrits enluminés aux environs de 1300 », dans Artistes, artisans et production artistique (Actes du colloque, Rennes, 1983), ed. X. Barral I Altet (Paris, Picard), vol. III, 321-349.
L. F. Sandler, « Notes for the illuminator : The case of the Omne Bonum », in Art bulletin, 71, n° 4, 1989, p. 551-564 (biblio p. 551)
J. J. Alexander, Medieval illuminators and their methods of work, New Haven, Yale University Press, 1992.
Baudouin Van Den Abeele, « Illustrer une thérapeutique des oiseaux de chasse : les manuscrits enluminés du \ »Moamin\ » latin », dans Comprendre et maîtriser la nature au Moyen Age. Mélanges d’histoire des sciences offerts à Guy Beaujouan, Droz, Paris, 1994, p. 557-577.
Richard Rouse & Mary Rouse, Manuscripts and Thier Makers : Commercial Book Producers in Medieval Paris, 1200-1500. Miller / Turnhout, Brepols, 2000, I, p. 146sq.
M. Driver et M. Orr, « Decorating and Illustrating the Page », dans The Production of Books in England 1350-1530, ed. Alexandra Gillespie and Daniel Wakelin, Cambridge, Cambridge University Press, 2011, p. 104-128.
Liens
Manuscrits 870 de la Mazarine –
Deux feuillets au Fitzwilliam Museum (mss 192 et 368) –
IRHT = Ymagiers : Le programme iconographique de la Somme le Roi –
Lorens of Orléans and the Somme le Roi or The Book of Vices and Virtues, par Leo M. Carruthers –
Guillaume de la Ruelle, apprenti enlumineur à 5 ans et demi (juillet 1541)
Nicolas de la Ruelle, practicien en court laye, demourant à Cormeilles en Parisy, confesse avoir… mys en service et apprantitz Guillaume de la Ruelle, son filz, [aagé de cinq ans et demy], du jour et feste de Pasques dernier passé jusques à douze ans…, avec honnorable homme Jehan Legay, enlumineur et bourgeois de Paris,… retenant led. Guillaume de la Ruelle à son service…, lequel il a promis. .. enseigner en bonnes meurs, l’envoyer à l’escolle et luy faire apprendre les sept pseaulmes, heures et aultre service, et ce faict, l’entretenir quelque temps au colleige pour apprandre la science, et aussi luy monstrer…, au myeulx qu’il pourra, led. mestier et estat d’enlumineur…, le traicter doulcement…, luy quérir et livrer son vivre de boyre, menger, feu, lict, hostel et lumière, avec sa chaussure, des souliers, chausses, robbes et aultres habillemens…, fors et excepté de chemyses, dont… son pere sera tenu de l’entretenir…, et en la fin dud. temps de douze ans le rendre par led. Legay honnestement habillé… [juillet 1541]
Source : Ernest Coyecque, Recueil d’actes notariés relatifs à l’histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle, Paris, 1905, p. 336.
Consignes à l’enlumineur (XVe s.)
Le manuscrit Paris, BnF Fr. 12466, un exemplaire du Pèlerinage de la vie humaine, de l’âme et de Jésus Christ, de Guillaume de Digulleville (XVe s.) porte aux f. 220v-222 quelques consignes à l’enlumineur chargé de sa décoration, (malheureusement) réduites par le relieur.
Par exemple, au f. 221 :
… Regarde contre le ciel et au bas de la montaigne a villes chasteaux …
©Paris, BnF, Fr. 12466. Manuscrit numérisé sur Gallica –
Guillaume de Digulleville sur ARLIMA –
Simon d’Orléans, enlumineur (XIIIe s.)
Assez rares sont les enlumineurs à signer leurs oeuvres. Simon d’Orléans (Simon Dorliens) se présente ainsi comme l’exécuteur d’un exemplaire du traité de fauconnerie de Frédéric II, dans une traduction française, faite à la demande de Jean, sieur de Dampierre, d’Isabelle de Brienne, sa femme, de Guillaume, son fils et de demoiselle Jeanne de Vignory (= Jeanne de Chalon, dame de Vignory), épouse de ce dernier. (Paris, BnF, Fr. 12400, fin XIIIe s.)
« simon ¤ dorliens // anlumineur ¤ // dor ¤ anlumina // se livre ¤ si » (f. 186)
f. 1v : iehan cheualier descendu de // tres noble lignie nei de sainte // racine signor de dampierre et // de st disier et a la reuerence de // ma douce dame ysabel dame // de ces meismes leus descendue // de tres haute sainte lignie de // roys et a lonor de tres noble da//moisel Guillaume lor fil et a // la grace de tres noble damoisel//le iehanne de woingnonri ma//dame ione…
© Paris, BnF, Fr. 12400, f. 1. Un fauconnier renseigne un moine, assis devant un copiste,
© Paris, BnF, Fr. 12400, f. 167.
L’enlumineur Simon, de par son nom, doit être originaire d’Orléans. Son style, par contre, est encore discuté : le Rémois ou la Champagne, Metz ?. Jean Wirth, Isabelle Engammare, Andreas Bräm, Les marges à drôleries des manuscrits gothiques, 1250-1350, Droz, 2008, p. 47, note 12.
Manuscrit numérisé sur Gallica
BIBLIO :
Manuscrits à peintures, Paris, 1955, p. 45, n° 97.
\ »Du Traité de fauconnerie composé par l’empereur Frédéric II, de ses manuscrits, de ses éditions et traductions\ », dans Bulletin du Bibliophile, 16e série, 1864, p. 885 sq. [ en ligne ]
The Art of Falconry, by Frederick II of Hohenstaufen, translated and edited by Casey A. Wood, F. Marjorie Fyfe [ en ligne ]
Patrick M. de Winter, \ »Simon d’Orléans enlumineur des ducs de Bar\ » : résumé. In : Congrès national des sociétés savantes (103 ; 10-15 avril 1978 ; Nancy, Metz). Paris : Ed. du C.T.H.S., 1978, p. 67.
Hélène Toubert et Laura Minervini, éd. — Federico II. De arte venandi cum avibus. L’art de la chace des oisiaus. Facsimile ed edizione critica del manoscritto fr. 12400 della Bibliothèque Nationale de France. Naples, Electa Napoli, 1995 (présentation en ligne)
Classes BnF –
ARLIMA – pour la bibliographie et sources